Author: | Henri Roorda | ISBN: | 1230000260694 |
Publisher: | NA | Publication: | August 15, 2014 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Henri Roorda |
ISBN: | 1230000260694 |
Publisher: | NA |
Publication: | August 15, 2014 |
Imprint: | |
Language: | French |
Roorda Henri (Balthasar) – Le rire et les rieurs, Mon suicide : Prof de math. au collège, le lausannois Henri Roorda (1870-1925) est aussi un humoriste, pamphlétaire et anarchiste, connu sous le pseudonyme de Balthasar. Il écrit, à cinquante-cinq ans, « Le rire et les rieurs » que Bruno Maillé commente ainsi : « ce qui m’a le plus touché dans Le rire et les rieurs, ce n’est pas tant l’efficacité de l’humour d’Henri Roorda que le charme de son humour et l’authentique singularité de sa pensée. Ses réfutations des différentes définitions du rire révèlent une étonnante habileté philosophique et une pensée d’une grande agilité. » La même année, ce pessimiste joyeux, lassé de sa « sereine solitude » (comme l’écrivait Edmond Gilliard écrivain et fondateur des Cahier vaudois qui l’a soutenu toute sa vie), mettait fin à ses jours, peut-être parce que la vie se répète terriblement. « Mon suicide » sera édité l’année suivante. Comme il le disait : « La bonne mine de nos cochons devrait nous faire réfléchir »…
Roorda Henri (Balthasar) – Le rire et les rieurs, Mon suicide : Prof de math. au collège, le lausannois Henri Roorda (1870-1925) est aussi un humoriste, pamphlétaire et anarchiste, connu sous le pseudonyme de Balthasar. Il écrit, à cinquante-cinq ans, « Le rire et les rieurs » que Bruno Maillé commente ainsi : « ce qui m’a le plus touché dans Le rire et les rieurs, ce n’est pas tant l’efficacité de l’humour d’Henri Roorda que le charme de son humour et l’authentique singularité de sa pensée. Ses réfutations des différentes définitions du rire révèlent une étonnante habileté philosophique et une pensée d’une grande agilité. » La même année, ce pessimiste joyeux, lassé de sa « sereine solitude » (comme l’écrivait Edmond Gilliard écrivain et fondateur des Cahier vaudois qui l’a soutenu toute sa vie), mettait fin à ses jours, peut-être parce que la vie se répète terriblement. « Mon suicide » sera édité l’année suivante. Comme il le disait : « La bonne mine de nos cochons devrait nous faire réfléchir »…