Le Nouveau magasin des enfants

Histoire d’un casse-noisette - Les Fées de la mer ( Edition intégrale ) illustré

Kids, Fiction, Fairy Tales, Fiction & Literature, Short Stories, Romance
Cover of the book Le Nouveau magasin des enfants by Alphonse Karr, Alexandre Dumas, Bertall, Laurentz, J. Hetzel (Paris) : 1860
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Author: Alphonse Karr, Alexandre Dumas, Bertall, Laurentz ISBN: 1230003181034
Publisher: J. Hetzel (Paris) : 1860 Publication: April 12, 2019
Imprint: Language: French
Author: Alphonse Karr, Alexandre Dumas, Bertall, Laurentz
ISBN: 1230003181034
Publisher: J. Hetzel (Paris) : 1860
Publication: April 12, 2019
Imprint:
Language: French

Histoire d’un casse-noisette...

Le soir de Noël, Marie trouve parmi les jouets un casse-noisette en forme de bonhomme. Jaloux, son frère Fritz brise les dents du jouet. La nuit venue, la fillette refuse de se coucher sans avoir installé au mieux son casse-noisette dans l’armoire quand, à minuit, des bruits se font entendre. Marie découvre avec terreur son parrain Drosselmayer assis sur l’horloge et voit des milliers de souris commandées par un roi à sept têtes. Tandis que les rongeurs se rangent en ordre de bataille, les jouets descendent de l’armoire et choisissent Casse-noisette pour général. La joute s’engage mais très vite les souris menacent Casse-noisette. Furieuse, Marie jette son soulier sur les assaillants et sauve son ami avant de tomber évanouie.

Le lendemain, Marie raconte l’aventure à ses parents incrédules. Quand arrive Drosselamyer, elle lui reproche de ne pas avoir secouru Casse-noisette. En guise d’explication, il lui raconte comment son neveu, Nathaniel Drosselmayer, fut transformé en casse-noisette par Dame Souriçonne, la mère du Roi des souris. Pour retrouver forme humaine, il doit diriger un combat au cours duquel il lui faut tuer le Roi des souris à sept têtes, puis il doit se faire aimer d’une jolie dame.

Résumé: Les Fées de la mer

Un jeune homme était assis dans un coin d’une salle d’auberge, et avait devant lui un excellent souper auquel il ne touchait pas, tant il était préoccupé. Un autre homme, dans un autre coin, aurait volontiers donné toute son attention à un bon repas, mais l’aubergiste ne lui apportait rien.

Tout à coup il regarda le jeune homme qui soupait, eut l’air de le reconnaître, se leva et échangea avec lui quelques paroles qui n’excitèrent pas l’attention des autres convives, jusqu’au moment où le jeune homme qui avait à souper et n’avait pas faim dit à celui qui avait faim et qui n’avait pas à souper : « Hélas ! mon cher monsieur, chacun a ses chagrins ; et si, comme moi, vous aviez votre amante changée en poisson rouge. »

Mais ce récit peut sembler obscur, et je vais le reprendre de plus loin.

Il y avait une fois, sur les côtes de Normandie, au bord de la mer, une pauvre cabane couverte de chaume. Cette cabane appartenait à un pêcheur qui l’habitait avec sa femme et son fils. L’ameublement n’en était pas somptueux : les lits étaient faits de fougère arrachée sur la lisière des bois. Le père Laurent, le pêcheur, était habile dans son métier ; personne ne faisait et ne raccommodait mieux les filets ; personne ne disait mieux, au coucher du soleil, quel temps il devait faire le lendemain. Malheureusement il n’était plus jeune, et les fatigues et la misère l’avaient affaibli. Son fils André était fort et courageux, il avait un cœur excellent ; c’était pour ses pauvres parents l’espoir et la sécurité de leur vieillesse. Un matin, André, qui était allé chercher des homards sous les rochers, revint avec une petite fille qu’il avait trouvée couchée et endormie sur un lit d’herbes marines. Elle était si petite qu’elle ne parlait pas encore. Marthe, la mère d’André, chercha longtemps à qui pouvait appartenir ce pauvre enfant abandonné ; elle fit dire dans tout le pays qu’on avait trouvé un enfant ; mais personne ne se présentant pour le réclamer, Marthe dit : « C’est Dieu qui me l’envoie » ; et, de ce jour, la petite fille devint l’enfant de la maison. On l’appela Marie, doux et charmant nom fait avec les lettres du mot aimer. Elle grandit avec eux, appelant André son frère, et le père Laurent et sa femme son père et sa mère.

Cependant, les jours et les années se succédaient. On n’était pas bien riche dans la cabane couverte de chaume. On avait quelquefois bien du mal à gagner le pain nécessaire ; mais on s’aimait bien, on était uni. André aidait son père, et promettait d’être un jour un bon pêcheur. On était heureux

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Histoire d’un casse-noisette...

Le soir de Noël, Marie trouve parmi les jouets un casse-noisette en forme de bonhomme. Jaloux, son frère Fritz brise les dents du jouet. La nuit venue, la fillette refuse de se coucher sans avoir installé au mieux son casse-noisette dans l’armoire quand, à minuit, des bruits se font entendre. Marie découvre avec terreur son parrain Drosselmayer assis sur l’horloge et voit des milliers de souris commandées par un roi à sept têtes. Tandis que les rongeurs se rangent en ordre de bataille, les jouets descendent de l’armoire et choisissent Casse-noisette pour général. La joute s’engage mais très vite les souris menacent Casse-noisette. Furieuse, Marie jette son soulier sur les assaillants et sauve son ami avant de tomber évanouie.

Le lendemain, Marie raconte l’aventure à ses parents incrédules. Quand arrive Drosselamyer, elle lui reproche de ne pas avoir secouru Casse-noisette. En guise d’explication, il lui raconte comment son neveu, Nathaniel Drosselmayer, fut transformé en casse-noisette par Dame Souriçonne, la mère du Roi des souris. Pour retrouver forme humaine, il doit diriger un combat au cours duquel il lui faut tuer le Roi des souris à sept têtes, puis il doit se faire aimer d’une jolie dame.

Résumé: Les Fées de la mer

Un jeune homme était assis dans un coin d’une salle d’auberge, et avait devant lui un excellent souper auquel il ne touchait pas, tant il était préoccupé. Un autre homme, dans un autre coin, aurait volontiers donné toute son attention à un bon repas, mais l’aubergiste ne lui apportait rien.

Tout à coup il regarda le jeune homme qui soupait, eut l’air de le reconnaître, se leva et échangea avec lui quelques paroles qui n’excitèrent pas l’attention des autres convives, jusqu’au moment où le jeune homme qui avait à souper et n’avait pas faim dit à celui qui avait faim et qui n’avait pas à souper : « Hélas ! mon cher monsieur, chacun a ses chagrins ; et si, comme moi, vous aviez votre amante changée en poisson rouge. »

Mais ce récit peut sembler obscur, et je vais le reprendre de plus loin.

Il y avait une fois, sur les côtes de Normandie, au bord de la mer, une pauvre cabane couverte de chaume. Cette cabane appartenait à un pêcheur qui l’habitait avec sa femme et son fils. L’ameublement n’en était pas somptueux : les lits étaient faits de fougère arrachée sur la lisière des bois. Le père Laurent, le pêcheur, était habile dans son métier ; personne ne faisait et ne raccommodait mieux les filets ; personne ne disait mieux, au coucher du soleil, quel temps il devait faire le lendemain. Malheureusement il n’était plus jeune, et les fatigues et la misère l’avaient affaibli. Son fils André était fort et courageux, il avait un cœur excellent ; c’était pour ses pauvres parents l’espoir et la sécurité de leur vieillesse. Un matin, André, qui était allé chercher des homards sous les rochers, revint avec une petite fille qu’il avait trouvée couchée et endormie sur un lit d’herbes marines. Elle était si petite qu’elle ne parlait pas encore. Marthe, la mère d’André, chercha longtemps à qui pouvait appartenir ce pauvre enfant abandonné ; elle fit dire dans tout le pays qu’on avait trouvé un enfant ; mais personne ne se présentant pour le réclamer, Marthe dit : « C’est Dieu qui me l’envoie » ; et, de ce jour, la petite fille devint l’enfant de la maison. On l’appela Marie, doux et charmant nom fait avec les lettres du mot aimer. Elle grandit avec eux, appelant André son frère, et le père Laurent et sa femme son père et sa mère.

Cependant, les jours et les années se succédaient. On n’était pas bien riche dans la cabane couverte de chaume. On avait quelquefois bien du mal à gagner le pain nécessaire ; mais on s’aimait bien, on était uni. André aidait son père, et promettait d’être un jour un bon pêcheur. On était heureux

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