Author: | Bruno Jetté | ISBN: | 9782924224021 |
Publisher: | Éditions La Plume D'or | Publication: | January 17, 2013 |
Imprint: | Éditions La Plume D'or | Language: | French |
Author: | Bruno Jetté |
ISBN: | 9782924224021 |
Publisher: | Éditions La Plume D'or |
Publication: | January 17, 2013 |
Imprint: | Éditions La Plume D'or |
Language: | French |
Roman choc traitant de la désinstitutionnalisation En 2004, ceux qui se prononçaient contre la désinstitutionnalisation se voyaient répondre qu’ils n’avaient pas de coeur. C’était vouloir garder les “fous” dans leurs geôles. Le personnel qui les traitait au quotidien se devait de laisser partir leurs patients du jour au lendemain, sans poser de question. Le silence d’alors fut considéré tel un consentement. Il était si payant de sortir les fous et de les accueillir chez soi ! Du coup, les pauvres devenaient une marchandise TRÈS payante, qui s’échangeait et se monnayait une fois la maison de leurs “hôtes” payée. Bruno Jetté, psychosociologue, était de ceux qui ont osé s’opposer à la désinstitutionnalisation. Ayant vu ses ex-patients se nourrir à même les poubelles, mendier dans la rue et dormir dans les ruelles, ses pires craintes se sont confirmées. Il se porta à leur défense en dénonçant la situation. Ce faisant, il faillit tout perdre, y compris la raison. Et si le roman qu’il nous livre ici n’en était pas tout à fait un ?
Roman choc traitant de la désinstitutionnalisation En 2004, ceux qui se prononçaient contre la désinstitutionnalisation se voyaient répondre qu’ils n’avaient pas de coeur. C’était vouloir garder les “fous” dans leurs geôles. Le personnel qui les traitait au quotidien se devait de laisser partir leurs patients du jour au lendemain, sans poser de question. Le silence d’alors fut considéré tel un consentement. Il était si payant de sortir les fous et de les accueillir chez soi ! Du coup, les pauvres devenaient une marchandise TRÈS payante, qui s’échangeait et se monnayait une fois la maison de leurs “hôtes” payée. Bruno Jetté, psychosociologue, était de ceux qui ont osé s’opposer à la désinstitutionnalisation. Ayant vu ses ex-patients se nourrir à même les poubelles, mendier dans la rue et dormir dans les ruelles, ses pires craintes se sont confirmées. Il se porta à leur défense en dénonçant la situation. Ce faisant, il faillit tout perdre, y compris la raison. Et si le roman qu’il nous livre ici n’en était pas tout à fait un ?