Author: | Jean Vergerie | ISBN: | 9782365460279 |
Publisher: | Digital Bazar SAS | Publication: | June 2, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Jean Vergerie |
ISBN: | 9782365460279 |
Publisher: | Digital Bazar SAS |
Publication: | June 2, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
Jean Vergerie, La Clinique des Cauchemars, Texte intégral établi d’après l’édition originale de R. Ballani, «Collection de l'Églantine», publiée à Paris en 1937.
Édition ornée d’un frontispice en deux tons et 8 illustrations hors-texte en noir et blanc de Sadie-Mazo.
Résumé :
Enlevées en plein Paris, de belles et opulentes jeunes filles sont emmenées à la Cliniques des cauchemars, où elles vont être soumises à diverses tortures savamment orchestrées par trois jolies dominatrices lesbiennes et fétichistes : orthopédie, corsetage, flagellation et dressage au fouet, poitrines exposées et autres lactations. Toute une série de supplices et châtiments qui raviront le lecteur avisé.
Table des matières :
Avant-propos de Jean Vergerie
Chapitre I. — Deux rapts en pleine ville.
Chapitre II. — Vers la Clinique des Cauchemars. — Déshabillée au fouet. — Les curieux costumes. — Étranges étreintes.
Chapitre III. — Dressage d’une rebelle. — Corsetage lascif.
Chapitre IV. — Dans le Boudoir de Cuir — De bizarres étreintes entre femmes moulées dans le Cuir Verni. — L'effrayante visite de la Clinique des Cauchemars. — Le mystère du Laboratoire n° 3. — Les tortures d'une vierge nourricière. — L'esclave devenue laitière. — Cinq malheureuses pendues et écartelées, avec des seins provocants sont fouettées avec des chamboks. — Poitrines pincées avec des épingles à linge. — De grosses mamelles sont serrées dans des étaux. — Epouvantable mêlée orgiaque. — Les cinq laitières de la Clinique des Cauchemars.
Chapitre V. — L’infernale existence des filles esclaves au Pavillon de Bâtardes. — Une fille punie et suspendue à une échelle, puis cravachée. — Visite minutieuse des filles esclaves. — Dans la salle de la Mort Lente. — L'effroyable exposition des suppliciées. — Mado est enfermée dans une boîte métallique. — Assise dans un fauteuil de suppliée Lucette doit subir les épingles qu'on enfonce sous les pieds et sous les mains. — L'effrayant et bizarre ferrage de l’esclave. — L'infernal supplice du feu lent : ongles arrachés et recouverts de mèches soufrées. — Le clystère d'huile bouillante. — L'épouvantable et sadique fête de la luxure et du sang. — Horrible vision. — Une curieuse et cruelle flagellation collective. — Un chirurgien tortionnaire oublie des épingles dans un sexe cousu. — Un sexe est agrafé ! Une esclave doit se soumettre aux ruts amoureux et féroces d'un Robot.
Chapitre VI. — Un homme vend sa femme et sa fille à D'Arban. — Les deux femmes sont cruellement fouaillées après d'épouvantables tortures. — Le chevalet demi-cylindrique garni de pointes. — Le mystérieux professeur achète des esclaves à D'Arban. — Copulations animales. — Huit tortionnaires cravachent une vierge. — Dévirage ! Une mort rêvée pour D'Arban. — Les amours d'un hermaphrodite parfait. — Le Règne des Trois Vamps Vernies qui, semblables aux trois mousquetaires, sont quatre désormais.
Extrait :
«Le corps de Maguy disparaît maintenant aux deux tiers dans la gaine soyeuse du corset. Les seins abondants sont remontés très haut, soulevés par les goussets. Ils ornent d’une façon suggestive le haut du corset. Les genoux sont collés l'un contre l'autre. Pour faciliter sa mise, la cuirasse soyeuse avait été largement débridée dans le dos, d'une huitaine de centimètres environ. Aussi Sapho commence à lier vigoureusement les lacets ; la taille comprimée s'amincit ; les deux bords du corset se sont rapprochés d'une vingtaine de centimètres. Tandis que Sapho tient les lacets afin qu'ils ne se détendent pas, Claire agenouillée commence à tirer sur leur croisillon, en débutant par le haut.
Les cuisses sont plus fortement plaquées l'une contre l'autre ; les fesses remplissent le fourreau et tendent la soie qui brille sans un pli. Maguy se laisse faire troublée par la caresse, le massage du satin sur sa peau. Il lui semble qu'un baume adoucisse les brûlures de l'effroyable flagellation de Doumba, lorsque sa chair fut labourée de coups de fouet. Elle croit avoir trouvé dans ce corsetage le remède aux cuissons de la cinglée. Et elle aime le serrage auquel maintenant elle acquiesce.
Sept centimètres ont été gagnés en tirant sur les croisillons des lacets. Claire fait un signe à Liane qui de ses deux mains comprime la taille, pendant qu'un genou appuyé sur la croupe de Maguy, elle tire à nouveau de toute la force de ses muscles sur les croisillons des lacets. Alors tout ensemble, le ventre de la patiente s'efface, rentre en lui-même et disparaît ; la taille s'arrondit en s'amincissant, les reins se creusent, le buste s'incline en avant, la croupe se tend en arrière, la poitrine offerte. La respiration de l'esclave devient haletante, son visage s'empourpre ; elle porte les mains à son ventre ou du moins à l'endroit où son ventre s'arrondissait avant d'avoir disparu sous l’aplatissement du corset ; les mains vont à la taille, puis au pubis.
En effet, son ventre et sa taille écrasés commencent à la faire souffrir tandis qu'à chaque mouvement elle sent dans son sexe le massage de plus en plus précis, de plus en plus appuyé, de l'étrange manchon fixé à la partie inférieure du busc et qui répand dans son être une excitation assez bizarre et voluptueuse. Avant de pousser plus avant le serrage du tour de taille, Sapho reprend son centimètre.»
Jean Vergerie, La Clinique des Cauchemars, Texte intégral établi d’après l’édition originale de R. Ballani, «Collection de l'Églantine», publiée à Paris en 1937.
Édition ornée d’un frontispice en deux tons et 8 illustrations hors-texte en noir et blanc de Sadie-Mazo.
Résumé :
Enlevées en plein Paris, de belles et opulentes jeunes filles sont emmenées à la Cliniques des cauchemars, où elles vont être soumises à diverses tortures savamment orchestrées par trois jolies dominatrices lesbiennes et fétichistes : orthopédie, corsetage, flagellation et dressage au fouet, poitrines exposées et autres lactations. Toute une série de supplices et châtiments qui raviront le lecteur avisé.
Table des matières :
Avant-propos de Jean Vergerie
Chapitre I. — Deux rapts en pleine ville.
Chapitre II. — Vers la Clinique des Cauchemars. — Déshabillée au fouet. — Les curieux costumes. — Étranges étreintes.
Chapitre III. — Dressage d’une rebelle. — Corsetage lascif.
Chapitre IV. — Dans le Boudoir de Cuir — De bizarres étreintes entre femmes moulées dans le Cuir Verni. — L'effrayante visite de la Clinique des Cauchemars. — Le mystère du Laboratoire n° 3. — Les tortures d'une vierge nourricière. — L'esclave devenue laitière. — Cinq malheureuses pendues et écartelées, avec des seins provocants sont fouettées avec des chamboks. — Poitrines pincées avec des épingles à linge. — De grosses mamelles sont serrées dans des étaux. — Epouvantable mêlée orgiaque. — Les cinq laitières de la Clinique des Cauchemars.
Chapitre V. — L’infernale existence des filles esclaves au Pavillon de Bâtardes. — Une fille punie et suspendue à une échelle, puis cravachée. — Visite minutieuse des filles esclaves. — Dans la salle de la Mort Lente. — L'effroyable exposition des suppliciées. — Mado est enfermée dans une boîte métallique. — Assise dans un fauteuil de suppliée Lucette doit subir les épingles qu'on enfonce sous les pieds et sous les mains. — L'effrayant et bizarre ferrage de l’esclave. — L'infernal supplice du feu lent : ongles arrachés et recouverts de mèches soufrées. — Le clystère d'huile bouillante. — L'épouvantable et sadique fête de la luxure et du sang. — Horrible vision. — Une curieuse et cruelle flagellation collective. — Un chirurgien tortionnaire oublie des épingles dans un sexe cousu. — Un sexe est agrafé ! Une esclave doit se soumettre aux ruts amoureux et féroces d'un Robot.
Chapitre VI. — Un homme vend sa femme et sa fille à D'Arban. — Les deux femmes sont cruellement fouaillées après d'épouvantables tortures. — Le chevalet demi-cylindrique garni de pointes. — Le mystérieux professeur achète des esclaves à D'Arban. — Copulations animales. — Huit tortionnaires cravachent une vierge. — Dévirage ! Une mort rêvée pour D'Arban. — Les amours d'un hermaphrodite parfait. — Le Règne des Trois Vamps Vernies qui, semblables aux trois mousquetaires, sont quatre désormais.
Extrait :
«Le corps de Maguy disparaît maintenant aux deux tiers dans la gaine soyeuse du corset. Les seins abondants sont remontés très haut, soulevés par les goussets. Ils ornent d’une façon suggestive le haut du corset. Les genoux sont collés l'un contre l'autre. Pour faciliter sa mise, la cuirasse soyeuse avait été largement débridée dans le dos, d'une huitaine de centimètres environ. Aussi Sapho commence à lier vigoureusement les lacets ; la taille comprimée s'amincit ; les deux bords du corset se sont rapprochés d'une vingtaine de centimètres. Tandis que Sapho tient les lacets afin qu'ils ne se détendent pas, Claire agenouillée commence à tirer sur leur croisillon, en débutant par le haut.
Les cuisses sont plus fortement plaquées l'une contre l'autre ; les fesses remplissent le fourreau et tendent la soie qui brille sans un pli. Maguy se laisse faire troublée par la caresse, le massage du satin sur sa peau. Il lui semble qu'un baume adoucisse les brûlures de l'effroyable flagellation de Doumba, lorsque sa chair fut labourée de coups de fouet. Elle croit avoir trouvé dans ce corsetage le remède aux cuissons de la cinglée. Et elle aime le serrage auquel maintenant elle acquiesce.
Sept centimètres ont été gagnés en tirant sur les croisillons des lacets. Claire fait un signe à Liane qui de ses deux mains comprime la taille, pendant qu'un genou appuyé sur la croupe de Maguy, elle tire à nouveau de toute la force de ses muscles sur les croisillons des lacets. Alors tout ensemble, le ventre de la patiente s'efface, rentre en lui-même et disparaît ; la taille s'arrondit en s'amincissant, les reins se creusent, le buste s'incline en avant, la croupe se tend en arrière, la poitrine offerte. La respiration de l'esclave devient haletante, son visage s'empourpre ; elle porte les mains à son ventre ou du moins à l'endroit où son ventre s'arrondissait avant d'avoir disparu sous l’aplatissement du corset ; les mains vont à la taille, puis au pubis.
En effet, son ventre et sa taille écrasés commencent à la faire souffrir tandis qu'à chaque mouvement elle sent dans son sexe le massage de plus en plus précis, de plus en plus appuyé, de l'étrange manchon fixé à la partie inférieure du busc et qui répand dans son être une excitation assez bizarre et voluptueuse. Avant de pousser plus avant le serrage du tour de taille, Sapho reprend son centimètre.»