LA BIBLE, cinq livres

Nonfiction, Religion & Spirituality, Bible & Bible Studies, Reference, Prophecies, Bibles
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Author: saint ISBN: 1230000771191
Publisher: class Publication: November 11, 2015
Imprint: Language: French
Author: saint
ISBN: 1230000771191
Publisher: class
Publication: November 11, 2015
Imprint:
Language: French


Il y a cinq livres concernant la bible dans cette epub:
1) L’Apocalypse ou Apocalypse de Jean ou encore Livre de la révélation, également appelé Révélation de Jésus-Christ (en grec ancien Αποκάλυψις Ιησού Χριστού / apokálupsis Iēsou Christoũ) suivant les premiers mots du texte1, est le dernier livre du Nouveau Testament.
L'œuvre a été composée vers la fin du ier siècle par un auteur judéo-chrétien dénommé Jean, selon le préambule. Ce Jean se serait trouvé à Patmos au moment de la composition du texte2, et la tradition l'a parfois identifié avec l'apôtre Jean, fils de Zébédée, auquel on a également attribué le quatrième évangile canonique — cette attribution de l'Apocalypse à Jean de Zébédée sera contestée dès son apparition, au iie siècle —, ou à un certain « Jean le Presbytre », c'est-à-dire « l'Ancien »3.
Étymologiquement, le mot « apocalypse » est la transcription d’un terme grec (ἀποκάλυψις / apokálupsis) signifiant « dévoilement » ou, sous un aspect religieux, « révélation » et appartient à un genre littéraire juif puis chrétien de type ésotérique – la littérature apocalyptique – qui présente une grande diversité mais qui a en commun un goût prononcé pour l'allégorie ainsi que pour le symbolisme, et dont l’Apocalypse de Jean constitue un modèle du genre.
Le texte, d'essence prophétique et dont l'auteur se réclame d'Ézéchiel, se présente ainsi comme une « révélation de Jésus-Christ » (Ap 1,1) qui dévoile à Jean « quel est le sens divin de son époque et comment le peuple de Dieu sera bientôt délivré ».
2) Un cantique est un chant donné à la louange d'un sentiment religieux. Son nom provient du latin canticum qui signifie chant ecclésiastique, à savoir chant biblique. Le terme recouvre donc tous les chants dans la bible, à l'exception des psaumes qui y forment un livre à eux seuls2. Aussi le cantique se distingue-t-il notamment de l'hymne ayant la même fonction, mais qui est un texte non biblique, et composé plus récemment.
L'origine du cantique est cependant plus ancienne que celle du psaume. Le cantique de Moïse après le passage de la mer Rouge (Exode (complet) 15,1), chanté ou récité au vigile pascale, est de nos jours considéré en tant que prototype du psaume3. Il s'agit du Te Deum hébreuz 1.
Dans la tradition chrétienne, le cantique le plus solennel et le plus connu est le cantique Magnificat. Au regard des textes, ceux du Livre d'Isaïe sont surtout importants dans le contexte liturgiquea 1.
3) L’Ecclésiaste (traduction grecque de l'hébreu קהלת Qohelet, « celui qui s'adresse à la foule »), est un livre de la Bible hébraïque, faisant partie des Ketouvim, présent dans tous les canons.
L'auteur se présente en tant que « Qohelet », fils de David, et roi d'Israël à Jérusalem1. La fin du livre lui attribue également la rédaction de Proverbes. Il a été quelque temps identifié à Salomon, ce qui fut contesté par Voltaire et les exégètes modernes après lui, qui datent l'œuvre du iiie siècle av. J.-C., pendant la période hellénistique où les Juifs furent influencés par les divers systèmes philosophiques grecs comme l'épicurisme et le stoïcisme.
Le livre se compose de réflexions générales comme autobiographiques, certaines passées dans notre langage courant (« rien de nouveau sous le soleil »), en paragraphes résignés évoquant le sens - ou son apparente absence - de la vie et débouchant sur quelques conseils pour la mener. Il proclame avec fatalisme la « futilité » et l'inanité de toute action humaine, sage comme fou connaissant le lot commun de la mort. Bien que le prêcheur place clairement la sagesse au-dessus de la folie, il ne lui reconnaît pas de valeur au-delà d'un simple agrément de l'existence. Face à cette absence de sens, l'auteur recommande de jouir des plaisirs simples de la vie quotidienne, comme le manger et le boire, la joie au travail, la compagnie de la personne qu'on aime, qui sont des dons de Dieu. Il recommande aussi de s'abstenir de maudire le roi (et Dieu), malgré la perception de l'injustice dans le monde. Enfin, il conclut que sa recherche du sens de la vie l'a amené au fait que le devoir primordial de l'humanité, et la seule chose durable, est de « craindre Dieu et garder ses commandements, car c'est là tout le devoir de l'homme » (12:13).
Il écrit selon les sentiments des habitants du monde, c'est-à-dire de ceux qui sont « sous le soleil » (Ec 1:9). Une grande partie du livre paraît négative et pessimiste (Ec 9:5, 10), en l'absence de toute perspective d'une vie future.
4) L'Épître aux Hébreux est un livre du Nouveau Testament.  es chapitres 1 et 2 expliquent que Jésus est plus grand que les anges.
Les chapitres 3 à 7 comparent Jésus à Moïse et à la loi de Moïse et témoignent qu'il est plus grand que l'un et l'autre. Ils enseignent aussi que la Prêtrise de Melchisédech est plus grande que celle d'Aaron.
Les chapitres 8 et 9 expliquent comment les ordonnances mosaïques ont préparé le peuple au ministère du Christ et comment le Christ est le Médiateur de la nouvelle Alliance.
Le chapitre 10 est une exhortation à la diligence et à la fidélité.
Le chapitre 11 est un discours sur la foi.
Le chapitre 12 contient des exhortations et des avertissements.
Le chapitre 13 explique la respectabilité du mariage et l'importance de la bienfaisance. Salutations finales.
5) Le livre des Lamentations (ou Lamentations de Jérémie, איכה ʾēḫā(h), Eikha) est un livre du Tanakh et de l'Ancien Testament. L'auteur est anonyme. Il est constitué de cinq poèmes déplorant la destruction de Jérusalem, probablement composés en Palestine. Son contenu se rapporte à une période entre 598 av. J-C, date de la première déportation, et la prise de Babylone par Cyrus en 538 av. J-C1.
Le premier poème décrit Jérusalem comme une princesse abandonnée, punie à cause de l’abondance de ses transgressions.
Le second poème parle des conséquences de la famine : des enfants défaillent, des femmes mangent leurs propres enfants, les cadavres jonchent les rues.
Le troisième poème annonce l’espoir de Sion en la miséricorde divine.
Le quatrième poème déplore la gloire passée du temple de Jérusalem, maintenant détruit.
Le dernier poème débute par une supplique demandant à Dieu de se souvenir de son peuple.
 

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Il y a cinq livres concernant la bible dans cette epub:
1) L’Apocalypse ou Apocalypse de Jean ou encore Livre de la révélation, également appelé Révélation de Jésus-Christ (en grec ancien Αποκάλυψις Ιησού Χριστού / apokálupsis Iēsou Christoũ) suivant les premiers mots du texte1, est le dernier livre du Nouveau Testament.
L'œuvre a été composée vers la fin du ier siècle par un auteur judéo-chrétien dénommé Jean, selon le préambule. Ce Jean se serait trouvé à Patmos au moment de la composition du texte2, et la tradition l'a parfois identifié avec l'apôtre Jean, fils de Zébédée, auquel on a également attribué le quatrième évangile canonique — cette attribution de l'Apocalypse à Jean de Zébédée sera contestée dès son apparition, au iie siècle —, ou à un certain « Jean le Presbytre », c'est-à-dire « l'Ancien »3.
Étymologiquement, le mot « apocalypse » est la transcription d’un terme grec (ἀποκάλυψις / apokálupsis) signifiant « dévoilement » ou, sous un aspect religieux, « révélation » et appartient à un genre littéraire juif puis chrétien de type ésotérique – la littérature apocalyptique – qui présente une grande diversité mais qui a en commun un goût prononcé pour l'allégorie ainsi que pour le symbolisme, et dont l’Apocalypse de Jean constitue un modèle du genre.
Le texte, d'essence prophétique et dont l'auteur se réclame d'Ézéchiel, se présente ainsi comme une « révélation de Jésus-Christ » (Ap 1,1) qui dévoile à Jean « quel est le sens divin de son époque et comment le peuple de Dieu sera bientôt délivré ».
2) Un cantique est un chant donné à la louange d'un sentiment religieux. Son nom provient du latin canticum qui signifie chant ecclésiastique, à savoir chant biblique. Le terme recouvre donc tous les chants dans la bible, à l'exception des psaumes qui y forment un livre à eux seuls2. Aussi le cantique se distingue-t-il notamment de l'hymne ayant la même fonction, mais qui est un texte non biblique, et composé plus récemment.
L'origine du cantique est cependant plus ancienne que celle du psaume. Le cantique de Moïse après le passage de la mer Rouge (Exode (complet) 15,1), chanté ou récité au vigile pascale, est de nos jours considéré en tant que prototype du psaume3. Il s'agit du Te Deum hébreuz 1.
Dans la tradition chrétienne, le cantique le plus solennel et le plus connu est le cantique Magnificat. Au regard des textes, ceux du Livre d'Isaïe sont surtout importants dans le contexte liturgiquea 1.
3) L’Ecclésiaste (traduction grecque de l'hébreu קהלת Qohelet, « celui qui s'adresse à la foule »), est un livre de la Bible hébraïque, faisant partie des Ketouvim, présent dans tous les canons.
L'auteur se présente en tant que « Qohelet », fils de David, et roi d'Israël à Jérusalem1. La fin du livre lui attribue également la rédaction de Proverbes. Il a été quelque temps identifié à Salomon, ce qui fut contesté par Voltaire et les exégètes modernes après lui, qui datent l'œuvre du iiie siècle av. J.-C., pendant la période hellénistique où les Juifs furent influencés par les divers systèmes philosophiques grecs comme l'épicurisme et le stoïcisme.
Le livre se compose de réflexions générales comme autobiographiques, certaines passées dans notre langage courant (« rien de nouveau sous le soleil »), en paragraphes résignés évoquant le sens - ou son apparente absence - de la vie et débouchant sur quelques conseils pour la mener. Il proclame avec fatalisme la « futilité » et l'inanité de toute action humaine, sage comme fou connaissant le lot commun de la mort. Bien que le prêcheur place clairement la sagesse au-dessus de la folie, il ne lui reconnaît pas de valeur au-delà d'un simple agrément de l'existence. Face à cette absence de sens, l'auteur recommande de jouir des plaisirs simples de la vie quotidienne, comme le manger et le boire, la joie au travail, la compagnie de la personne qu'on aime, qui sont des dons de Dieu. Il recommande aussi de s'abstenir de maudire le roi (et Dieu), malgré la perception de l'injustice dans le monde. Enfin, il conclut que sa recherche du sens de la vie l'a amené au fait que le devoir primordial de l'humanité, et la seule chose durable, est de « craindre Dieu et garder ses commandements, car c'est là tout le devoir de l'homme » (12:13).
Il écrit selon les sentiments des habitants du monde, c'est-à-dire de ceux qui sont « sous le soleil » (Ec 1:9). Une grande partie du livre paraît négative et pessimiste (Ec 9:5, 10), en l'absence de toute perspective d'une vie future.
4) L'Épître aux Hébreux est un livre du Nouveau Testament.  es chapitres 1 et 2 expliquent que Jésus est plus grand que les anges.
Les chapitres 3 à 7 comparent Jésus à Moïse et à la loi de Moïse et témoignent qu'il est plus grand que l'un et l'autre. Ils enseignent aussi que la Prêtrise de Melchisédech est plus grande que celle d'Aaron.
Les chapitres 8 et 9 expliquent comment les ordonnances mosaïques ont préparé le peuple au ministère du Christ et comment le Christ est le Médiateur de la nouvelle Alliance.
Le chapitre 10 est une exhortation à la diligence et à la fidélité.
Le chapitre 11 est un discours sur la foi.
Le chapitre 12 contient des exhortations et des avertissements.
Le chapitre 13 explique la respectabilité du mariage et l'importance de la bienfaisance. Salutations finales.
5) Le livre des Lamentations (ou Lamentations de Jérémie, איכה ʾēḫā(h), Eikha) est un livre du Tanakh et de l'Ancien Testament. L'auteur est anonyme. Il est constitué de cinq poèmes déplorant la destruction de Jérusalem, probablement composés en Palestine. Son contenu se rapporte à une période entre 598 av. J-C, date de la première déportation, et la prise de Babylone par Cyrus en 538 av. J-C1.
Le premier poème décrit Jérusalem comme une princesse abandonnée, punie à cause de l’abondance de ses transgressions.
Le second poème parle des conséquences de la famine : des enfants défaillent, des femmes mangent leurs propres enfants, les cadavres jonchent les rues.
Le troisième poème annonce l’espoir de Sion en la miséricorde divine.
Le quatrième poème déplore la gloire passée du temple de Jérusalem, maintenant détruit.
Le dernier poème débute par une supplique demandant à Dieu de se souvenir de son peuple.
 

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