Author: | Gérard Charnoz, Georges Hahn | ISBN: | 9782705923051 |
Publisher: | (Presses universitaires de France) réédition numérique FeniXX | Publication: | January 1, 1960 |
Imprint: | Presses universitaires de France (réédition numérique FeniXX) | Language: | French |
Author: | Gérard Charnoz, Georges Hahn |
ISBN: | 9782705923051 |
Publisher: | (Presses universitaires de France) réédition numérique FeniXX |
Publication: | January 1, 1960 |
Imprint: | Presses universitaires de France (réédition numérique FeniXX) |
Language: | French |
La question posée par le titre de cet ouvrage peut paraître provocante et irrévérencieuse. Elle pose néanmoins un problème important : celui de la productivité des efforts et des investissements que l’Université n’est pas encore parvenue à résoudre. L’auteur l’aborde dans un esprit résolument favorable aux méthodes modernes de l’organisation du travail. L’enseignement oral les na- les prises par les auditeurs. les examens et leur sanction, tout est passé au crible pour aboutir à une conception nouvelle des études. Aux procédés classiques doit se substituer un travail en équipe fortement outillé par des dispositifs mécaniques, Il s’agit non seulement de gagner du temps et d’éviter le surmenage mais fout autant d’éduquer le jugement et de développer le sens des responsabilités. Adapter l’enseignement supérieur aux besoins d’une-masse toujours plus nombreuse d’étudiants, faire leur, place aux méthodes actives, à l’initiative personnelle et à la division du travail, voici un programme auquel Gérard Charnoz s’est attaché avec une conviction nourrie des expériences de l’étudiant qu’il fut lui-même, il y a peu de temps encore. Ses hypothèses seront discutées et souvent contestées, mais ce sont là des divergences qui ne pourront manquer de rendre plus évidente encore l’importance du débat ainsi engagé.
La question posée par le titre de cet ouvrage peut paraître provocante et irrévérencieuse. Elle pose néanmoins un problème important : celui de la productivité des efforts et des investissements que l’Université n’est pas encore parvenue à résoudre. L’auteur l’aborde dans un esprit résolument favorable aux méthodes modernes de l’organisation du travail. L’enseignement oral les na- les prises par les auditeurs. les examens et leur sanction, tout est passé au crible pour aboutir à une conception nouvelle des études. Aux procédés classiques doit se substituer un travail en équipe fortement outillé par des dispositifs mécaniques, Il s’agit non seulement de gagner du temps et d’éviter le surmenage mais fout autant d’éduquer le jugement et de développer le sens des responsabilités. Adapter l’enseignement supérieur aux besoins d’une-masse toujours plus nombreuse d’étudiants, faire leur, place aux méthodes actives, à l’initiative personnelle et à la division du travail, voici un programme auquel Gérard Charnoz s’est attaché avec une conviction nourrie des expériences de l’étudiant qu’il fut lui-même, il y a peu de temps encore. Ses hypothèses seront discutées et souvent contestées, mais ce sont là des divergences qui ne pourront manquer de rendre plus évidente encore l’importance du débat ainsi engagé.