Author: | Émile Pouget | ISBN: | 9782824901558 |
Publisher: | République des Lettres | Publication: | November 8, 2013 |
Imprint: | République des Lettres | Language: | French |
Author: | Émile Pouget |
ISBN: | 9782824901558 |
Publisher: | République des Lettres |
Publication: | November 8, 2013 |
Imprint: | République des Lettres |
Language: | French |
Texte intégral révisé suivi d'une biographie d'Émile Pouget. Dans ces deux textes majeurs du syndicalisme révolutionnaire français, le fondateur du journal anarchiste Le Père peinard expose ses théories sur l'action directe, la grève générale, le boycott et le sabotage comme instruments de lutte préalables à la révolution. Il s'en prend directement aux institutions et aux représentants du capitalisme, mais aussi à certaines illusions et duperies de la lutte politique, y compris celle des partis ouvriers à l'égard du peuple. A l'époque pleinement investi dans la lutte syndicale comme co-directeur de La Voix du Peuple et Secrétaire adjoint de la toute jeune Confédération Générale du Travail (CGT), où il défend la tendance révolutionnaire du syndicalisme contre les réformistes, il justifie sa célèbre maxime "À mauvaise paye mauvais travail !" en faisant adopter ces principes comme moyens d'action du mouvement ouvrier sur le patronat. Un siècle plus tard, ces deux beaux textes de combat n'ont pas pris une ride.
Texte intégral révisé suivi d'une biographie d'Émile Pouget. Dans ces deux textes majeurs du syndicalisme révolutionnaire français, le fondateur du journal anarchiste Le Père peinard expose ses théories sur l'action directe, la grève générale, le boycott et le sabotage comme instruments de lutte préalables à la révolution. Il s'en prend directement aux institutions et aux représentants du capitalisme, mais aussi à certaines illusions et duperies de la lutte politique, y compris celle des partis ouvriers à l'égard du peuple. A l'époque pleinement investi dans la lutte syndicale comme co-directeur de La Voix du Peuple et Secrétaire adjoint de la toute jeune Confédération Générale du Travail (CGT), où il défend la tendance révolutionnaire du syndicalisme contre les réformistes, il justifie sa célèbre maxime "À mauvaise paye mauvais travail !" en faisant adopter ces principes comme moyens d'action du mouvement ouvrier sur le patronat. Un siècle plus tard, ces deux beaux textes de combat n'ont pas pris une ride.