L’émission littéraire, exception culturelle à la française, née avec Lectures pour tous, en 1953, aura connu son apogée dans les années 80 et 90, avec un modèle jamais égalé – Apostrophes – puis une lente déchéance. Elle est, aujourd’hui, reléguée à des horaires plus que tardifs ou avalée par le règne de la télé-réalité et du divertissement qui s’arroge le quasi-monopole de la promotion du livre. L’émission littéraire, exception culturelle à la française, née avec Lectures pour tous, en 1953, aura connu son apogée dans les années 80 et 90, avec un modèle jamais égalé – Apostrophes – puis une lente déchéance. Elle est, aujourd’hui, reléguée à des horaires plus que tardifs ou avalée par le règne de la télé-réalité et du divertissement qui s’arroge le quasi-monopole de la promotion du livre.
L’émission littéraire, exception culturelle à la française, née avec Lectures pour tous, en 1953, aura connu son apogée dans les années 80 et 90, avec un modèle jamais égalé – Apostrophes – puis une lente déchéance. Elle est, aujourd’hui, reléguée à des horaires plus que tardifs ou avalée par le règne de la télé-réalité et du divertissement qui s’arroge le quasi-monopole de la promotion du livre. L’émission littéraire, exception culturelle à la française, née avec Lectures pour tous, en 1953, aura connu son apogée dans les années 80 et 90, avec un modèle jamais égalé – Apostrophes – puis une lente déchéance. Elle est, aujourd’hui, reléguée à des horaires plus que tardifs ou avalée par le règne de la télé-réalité et du divertissement qui s’arroge le quasi-monopole de la promotion du livre.