Author: | Mélanie Matarese, Adlène Meddi, Kamel Daoud | ISBN: | 9782360134687 |
Publisher: | Riveneuve éditions | Publication: | January 24, 2018 |
Imprint: | Riveneuve éditions | Language: | French |
Author: | Mélanie Matarese, Adlène Meddi, Kamel Daoud |
ISBN: | 9782360134687 |
Publisher: | Riveneuve éditions |
Publication: | January 24, 2018 |
Imprint: | Riveneuve éditions |
Language: | French |
Les deux auteurs tracent un portrait tout en nuance de l'Algérie contemporaine.
Une fois encore, l’Algérie est face à son destin... Elle doit relever tellement de défis dans un avenir proche ! Il lui faut réussir une transition politique délicate avec une génération de dirigeants civils et militaires qui refusent de s’effacer, repenser son économie écrasée par la rente des hydrocarbures qui s’est subitement asséchée et gérer une population en mutation sous l’effet de la pression démographique et de nouvelles aspirations sociales. Elle a certes de quoi se réaliser comme pays émergent et s’imposer comme interlocuteur crédible des grandes puissances dans une région déstabilisée par la menace terroriste. Mais elle doit aussi réussir à construire un Etat de droit. Témoins privilégiés de l'Algérie des années Bouteflika, Adlène Meddi et Mélanie Matarese racontent le pays de l’intérieur. Immergés dans l’actualité et
parfois dans les secrets de ce pouvoir insaisissable et complexe, ils font partager leurs rencontres et leurs aventures.
Au gré de chroniques douces-amères, les auteurs retracent heures sombres et moments de grâce, et surtout leur tendresse pour cette nation jeune, riche d’histoire et si méconnue.
EXTRAIT
C’est comme ça, il y a des choses qui vous collent à la peau dont il est difficile de se débarrasser. Et tous les ans à la même époque, en février, un classement international vient rappeler combien en matière de qualité de vie, Alger ressemble à l’enfer sur terre. Sur 230 villes, la capitale n’a jamais dépassé la moitié basse du palmarès, toujours derrière ses séduisantes voisines, Casablanca et Tunis. La faute aux embouteillages, à la pollution, la rareté des lieux culturels, à la défaillance des transports publics, et à des phénomènes moins palpables comme la corruption ou le manque de libertés individuelles.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Jours Tranquilles à Alger est une forme de messages en bouteille où les récits ne sont pas des SOS mais des fenêtres ouvertes sur le présent, pour qui voudrait s'approcher et voir qu'entre mer, océan et continents, l'Algérie est la somme du vécu de femmes, d'hommes et d'enfants dont les deux auteurs sont une partie, dans un pays qui oscille entre construction et déconstruction. - Nadia Ghanem, Huffington Post Algérie
À PROPOS DES AUTEURS
Mélanie Matarese, journaliste française, est installée en Algérie depuis 2006. Adlène Meddi, journaliste algérien, est auteur de romans policiers (Le casse-tête turc en 2002 et La prière du Maure en 2008). Ils sont les rédacteurs en chef d’El Watan Week-end, la version hebdomadaire du premier quotidien francophone indépendant en Algérie, qu’ils ont lancé en 2009. Ils travaillent également comme correspondants pour des médias étrangers (Middle East Eye, Le Figaro, La Tribune de Genève...).
Les deux auteurs tracent un portrait tout en nuance de l'Algérie contemporaine.
Une fois encore, l’Algérie est face à son destin... Elle doit relever tellement de défis dans un avenir proche ! Il lui faut réussir une transition politique délicate avec une génération de dirigeants civils et militaires qui refusent de s’effacer, repenser son économie écrasée par la rente des hydrocarbures qui s’est subitement asséchée et gérer une population en mutation sous l’effet de la pression démographique et de nouvelles aspirations sociales. Elle a certes de quoi se réaliser comme pays émergent et s’imposer comme interlocuteur crédible des grandes puissances dans une région déstabilisée par la menace terroriste. Mais elle doit aussi réussir à construire un Etat de droit. Témoins privilégiés de l'Algérie des années Bouteflika, Adlène Meddi et Mélanie Matarese racontent le pays de l’intérieur. Immergés dans l’actualité et
parfois dans les secrets de ce pouvoir insaisissable et complexe, ils font partager leurs rencontres et leurs aventures.
Au gré de chroniques douces-amères, les auteurs retracent heures sombres et moments de grâce, et surtout leur tendresse pour cette nation jeune, riche d’histoire et si méconnue.
EXTRAIT
C’est comme ça, il y a des choses qui vous collent à la peau dont il est difficile de se débarrasser. Et tous les ans à la même époque, en février, un classement international vient rappeler combien en matière de qualité de vie, Alger ressemble à l’enfer sur terre. Sur 230 villes, la capitale n’a jamais dépassé la moitié basse du palmarès, toujours derrière ses séduisantes voisines, Casablanca et Tunis. La faute aux embouteillages, à la pollution, la rareté des lieux culturels, à la défaillance des transports publics, et à des phénomènes moins palpables comme la corruption ou le manque de libertés individuelles.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Jours Tranquilles à Alger est une forme de messages en bouteille où les récits ne sont pas des SOS mais des fenêtres ouvertes sur le présent, pour qui voudrait s'approcher et voir qu'entre mer, océan et continents, l'Algérie est la somme du vécu de femmes, d'hommes et d'enfants dont les deux auteurs sont une partie, dans un pays qui oscille entre construction et déconstruction. - Nadia Ghanem, Huffington Post Algérie
À PROPOS DES AUTEURS
Mélanie Matarese, journaliste française, est installée en Algérie depuis 2006. Adlène Meddi, journaliste algérien, est auteur de romans policiers (Le casse-tête turc en 2002 et La prière du Maure en 2008). Ils sont les rédacteurs en chef d’El Watan Week-end, la version hebdomadaire du premier quotidien francophone indépendant en Algérie, qu’ils ont lancé en 2009. Ils travaillent également comme correspondants pour des médias étrangers (Middle East Eye, Le Figaro, La Tribune de Genève...).