Un flic assassin transforme la réalité sinistre de ses crimes en fiction dans Journal d'un tueur 2, la suite attendue du livre culte de Gerard Schaefer. Que ce soit au travers des histoires de la goule, son alter ego nécrophile, des aventures de Dan Kelly, le flic véreux qu'il aurait rêvé être, ou dans une interview grand-guignolesque de son voisin de cellule Ottis Toole, la prose de la bête sexuelle de Fort Lauderdale n'en finira pas de vous secouer les tripes. John Wayne Gacy : « L'écriture de Schaefer est détaillée et vous oblige à tourner les pages. Il connait son sujet, et d'après ce qui est dans ce livre, je pense qu'il a mis la main à la pâte. » Lawrence Bittaker : « Schaefer a un don pour créer de bonnes histoires. Il se complait dans des sujets morbides et bizarres, avec une touche de coprophilie. » Danny Rolling : « Schaefer se vante ‘d'aimer tuer des putes'. Quelle déclaration malsaine ! Cette chose est un monceau d'immondices bien écrites. » William Heirens : « Schaefer n'a aucun respect pour les femmes, ou même les hommes. Je comprends ce qu'il tente de faire - saturer le public avec des récits de meurtres tordus, comme un frère Grimm des temps modernes. »
Un flic assassin transforme la réalité sinistre de ses crimes en fiction dans Journal d'un tueur 2, la suite attendue du livre culte de Gerard Schaefer. Que ce soit au travers des histoires de la goule, son alter ego nécrophile, des aventures de Dan Kelly, le flic véreux qu'il aurait rêvé être, ou dans une interview grand-guignolesque de son voisin de cellule Ottis Toole, la prose de la bête sexuelle de Fort Lauderdale n'en finira pas de vous secouer les tripes. John Wayne Gacy : « L'écriture de Schaefer est détaillée et vous oblige à tourner les pages. Il connait son sujet, et d'après ce qui est dans ce livre, je pense qu'il a mis la main à la pâte. » Lawrence Bittaker : « Schaefer a un don pour créer de bonnes histoires. Il se complait dans des sujets morbides et bizarres, avec une touche de coprophilie. » Danny Rolling : « Schaefer se vante ‘d'aimer tuer des putes'. Quelle déclaration malsaine ! Cette chose est un monceau d'immondices bien écrites. » William Heirens : « Schaefer n'a aucun respect pour les femmes, ou même les hommes. Je comprends ce qu'il tente de faire - saturer le public avec des récits de meurtres tordus, comme un frère Grimm des temps modernes. »