Author: | William G.P. Rawling, William Johnston, Richard H. Gimblett, John MacFarlane | ISBN: | 9781459713239 |
Publisher: | Dundurn | Publication: | January 14, 2011 |
Imprint: | Dundurn | Language: | French |
Author: | William G.P. Rawling, William Johnston, Richard H. Gimblett, John MacFarlane |
ISBN: | 9781459713239 |
Publisher: | Dundurn |
Publication: | January 14, 2011 |
Imprint: | Dundurn |
Language: | French |
La création de la Marine royale du Canada (MRC) en 1910 et ses premières années d’existence ont été marquées par un débat politique quant à la nécessité d’un service naval au Canada. Du littoral à la mer, le premier d’une série de trois volumes relatant l’histoire officielle de la MRC, retrace les trois premières décennies de la Marine, de ses débuts comme marine de pacotille établie par le Premier ministre sir Wilfrid Laurier et constituée de deux croiseurs britanniques obsolètes jusqu’ à son entrée dans la Seconde Guerre mondiale, en tant que force composée de six destroyers modernes et de quatre dragueurs de mines. L’histoire de la MRC au cours du conflit de 1939-1945 a déjà été raconté dans la partie 1, Rien de plus noble, et la partie 2, Parmi les puissances navales, du volume II de la série, publié précédemment. Fondé sur des recherches archivistiques approfondies, l’ouvrage Du littoral à la mer relate les âpres débats qui ont finalement mené à l’établissement de la MRC en 1910, son existence précaire après le remplacement soudain du gouvernement de Laurier par celui de Robert Borden un an plus tard, ainsi que les difficultés de la Marine au cours de la Première Guerre mondiale lorsqu’elle a dû défendre les eaux canadiennes avec très peu de ressources. Des conséquences désastreuses de la terrible explosion survenue Halifax en décembre 1917 jusqu’à la campagne menée par les sous-marins allemands au large de la côte Est du Canada en 1918, le volume I examine dans quelle mesure les conseils souvent incohérents qu’Ottawa recevait de l’Amirauté britannique, à Londres, ont compliqué la tâche de la MRC. La dernière section de cet important ouvrage historique bien illustré traite de l’expérience de la MRC pendant l’entre-deux-guerres, alors que le sentiment antiguerre et une dépression économique menaçaient sa survie même.
La création de la Marine royale du Canada (MRC) en 1910 et ses premières années d’existence ont été marquées par un débat politique quant à la nécessité d’un service naval au Canada. Du littoral à la mer, le premier d’une série de trois volumes relatant l’histoire officielle de la MRC, retrace les trois premières décennies de la Marine, de ses débuts comme marine de pacotille établie par le Premier ministre sir Wilfrid Laurier et constituée de deux croiseurs britanniques obsolètes jusqu’ à son entrée dans la Seconde Guerre mondiale, en tant que force composée de six destroyers modernes et de quatre dragueurs de mines. L’histoire de la MRC au cours du conflit de 1939-1945 a déjà été raconté dans la partie 1, Rien de plus noble, et la partie 2, Parmi les puissances navales, du volume II de la série, publié précédemment. Fondé sur des recherches archivistiques approfondies, l’ouvrage Du littoral à la mer relate les âpres débats qui ont finalement mené à l’établissement de la MRC en 1910, son existence précaire après le remplacement soudain du gouvernement de Laurier par celui de Robert Borden un an plus tard, ainsi que les difficultés de la Marine au cours de la Première Guerre mondiale lorsqu’elle a dû défendre les eaux canadiennes avec très peu de ressources. Des conséquences désastreuses de la terrible explosion survenue Halifax en décembre 1917 jusqu’à la campagne menée par les sous-marins allemands au large de la côte Est du Canada en 1918, le volume I examine dans quelle mesure les conseils souvent incohérents qu’Ottawa recevait de l’Amirauté britannique, à Londres, ont compliqué la tâche de la MRC. La dernière section de cet important ouvrage historique bien illustré traite de l’expérience de la MRC pendant l’entre-deux-guerres, alors que le sentiment antiguerre et une dépression économique menaçaient sa survie même.