Author: | Alphonse Chevallier | ISBN: | 1230001183283 |
Publisher: | E H | Publication: | March 12, 2016 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Alphonse Chevallier |
ISBN: | 1230001183283 |
Publisher: | E H |
Publication: | March 12, 2016 |
Imprint: | |
Language: | French |
On a donné le nom de café au périsperme du fruit de l’arbre qui est connu sous les noms de caféier, de Coffea arabica, arbre qui est originaire de l’Arabie, mais qui est maintenant cultivé en Amérique, dans les Antilles, dans la Guyane, à l’île Bourbon.
L’arbre qui fournit le café est susceptible de s’élever à 8 mètres de hauteur, mais on arrête cette élévation en coupant les branches supérieures (en l’étêtant), de telle sorte qu’on maintient sa hauteur de 1m,50 à 2 mètres, ce qui en facilite la récolte.
Celle-ci est considérable : en effet, Humboldt a fait connaître qu’un hectare de terrain dans les vallées d’Aragua, sur lequel seraient cultivés 2560 pieds de caféier, pourrait fournir en moyenne 2278 kilogrammes de graines sèches.
Le fruit du caféier ne peut être mieux comparé qu’à une cerise : sa couleur est rougeâtre ; sa pulpe, lorsqu’elle arrive à la maturité, a une saveur douce et aigrelette.
La récolte du café ne se fait pas en une seule fois, mais à diverses reprises et à mesure que la maturité s’opère, ce qui varie en raison de la température.
Le fruit étant détaché de l’arbre, il faut séparer la pulpe du périsperme, ce périsperme étant ce que nous nommons les grains de café. Cette pulpe peut, dit-on, être utilisée par fermentation et par distillation pour obtenir de l’alcool. Les grains, séparés, varient de forme, selon que le fruit renferme au milieu de sa pulpe d’une à quatre graines...
On a donné le nom de café au périsperme du fruit de l’arbre qui est connu sous les noms de caféier, de Coffea arabica, arbre qui est originaire de l’Arabie, mais qui est maintenant cultivé en Amérique, dans les Antilles, dans la Guyane, à l’île Bourbon.
L’arbre qui fournit le café est susceptible de s’élever à 8 mètres de hauteur, mais on arrête cette élévation en coupant les branches supérieures (en l’étêtant), de telle sorte qu’on maintient sa hauteur de 1m,50 à 2 mètres, ce qui en facilite la récolte.
Celle-ci est considérable : en effet, Humboldt a fait connaître qu’un hectare de terrain dans les vallées d’Aragua, sur lequel seraient cultivés 2560 pieds de caféier, pourrait fournir en moyenne 2278 kilogrammes de graines sèches.
Le fruit du caféier ne peut être mieux comparé qu’à une cerise : sa couleur est rougeâtre ; sa pulpe, lorsqu’elle arrive à la maturité, a une saveur douce et aigrelette.
La récolte du café ne se fait pas en une seule fois, mais à diverses reprises et à mesure que la maturité s’opère, ce qui varie en raison de la température.
Le fruit étant détaché de l’arbre, il faut séparer la pulpe du périsperme, ce périsperme étant ce que nous nommons les grains de café. Cette pulpe peut, dit-on, être utilisée par fermentation et par distillation pour obtenir de l’alcool. Les grains, séparés, varient de forme, selon que le fruit renferme au milieu de sa pulpe d’une à quatre graines...