Des souris et des salopes

De la misogynie en milieu animaliste

Nonfiction, Science & Nature, Nature, Animals, Animals Rights, Social & Cultural Studies, Social Science, Gender Studies, Feminism & Feminist Theory, Religion & Spirituality, New Age
Cover of the book Des souris et des salopes by Michelle Julien, Louise Courteau éditrice
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Author: Michelle Julien ISBN: 9782897281359
Publisher: Louise Courteau éditrice Publication: September 2, 2013
Imprint: Osmora Inc. Language: French
Author: Michelle Julien
ISBN: 9782897281359
Publisher: Louise Courteau éditrice
Publication: September 2, 2013
Imprint: Osmora Inc.
Language: French
Une augmentation des adhésions. La Société Protectrice des Animaux (SPA) revendique aujourd’hui près de 80 000 adhérents. Ils étaient moins de 20 000 en 2001. La tendance est générale pour toutes les grandes associations de protection animale occidentales.  Une majorité de femmes, dirigeantes, salariées, bénévoles et donatrices, alors que les théoriciens animalistes sont principalement masculins. Un discours qui se politise : les animaux sont nos égaux, il faut leur donner des droits, en calquant la « libération animale » sur celle des femmes.


Pourtant, la protection animale reste foncièrement ancrée dans une vision conservatrice et conformiste du rôle de la femme dans notre société : de la chair fraîche, bonne à servir de défouloir, marchandisée, autochosifiée, culpabilisée, victimisée… Si les animalistes affirment l’égalité entre les humains et le reste des animaux, ils traitent la femme comme inférieure à l’homme et se complaisent à la « rabaisser » à la condition de l’animal.


Reproduire les stéréotypes misogynes véhiculés par les codes publicitaires, religieux, et pornographiques. Renforcer les inégalités entre les hommes et les femmes. Le sexisme n’est pas un problème, mais la solution pour médiatiser son organisation animaliste. Le cynisme économique a supplanté toute revendication progressiste. Les associations sont converties en agences d’autopromotion qui markettent la cause animale comme « n’importe quel produit ».

 À travers la façon de communiquer des associations, le discours des militants et des acteurs de cette cause, l’auteure a pris conscience d’une dérive vers toujours plus de stigmatisation et de violence contre les femmes. Phénomène sociétal ? À moins que la misogynie soit indissociable de la protection animale...

 

Depuis vingt ans, Michelle Julien est une observatrice avertie du milieu de la cause animale et une fervente opposante à l’expérimentation animale.

 

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Une augmentation des adhésions. La Société Protectrice des Animaux (SPA) revendique aujourd’hui près de 80 000 adhérents. Ils étaient moins de 20 000 en 2001. La tendance est générale pour toutes les grandes associations de protection animale occidentales.  Une majorité de femmes, dirigeantes, salariées, bénévoles et donatrices, alors que les théoriciens animalistes sont principalement masculins. Un discours qui se politise : les animaux sont nos égaux, il faut leur donner des droits, en calquant la « libération animale » sur celle des femmes.


Pourtant, la protection animale reste foncièrement ancrée dans une vision conservatrice et conformiste du rôle de la femme dans notre société : de la chair fraîche, bonne à servir de défouloir, marchandisée, autochosifiée, culpabilisée, victimisée… Si les animalistes affirment l’égalité entre les humains et le reste des animaux, ils traitent la femme comme inférieure à l’homme et se complaisent à la « rabaisser » à la condition de l’animal.


Reproduire les stéréotypes misogynes véhiculés par les codes publicitaires, religieux, et pornographiques. Renforcer les inégalités entre les hommes et les femmes. Le sexisme n’est pas un problème, mais la solution pour médiatiser son organisation animaliste. Le cynisme économique a supplanté toute revendication progressiste. Les associations sont converties en agences d’autopromotion qui markettent la cause animale comme « n’importe quel produit ».

 À travers la façon de communiquer des associations, le discours des militants et des acteurs de cette cause, l’auteure a pris conscience d’une dérive vers toujours plus de stigmatisation et de violence contre les femmes. Phénomène sociétal ? À moins que la misogynie soit indissociable de la protection animale...

 

Depuis vingt ans, Michelle Julien est une observatrice avertie du milieu de la cause animale et une fervente opposante à l’expérimentation animale.

 

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