Author: | Manuel Minguez, Haroun Tazieff | ISBN: | 9782402177672 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique | Publication: | January 1, 1987 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Tallandier) | Language: | French |
Author: | Manuel Minguez, Haroun Tazieff |
ISBN: | 9782402177672 |
Publisher: | FeniXX réédition numérique |
Publication: | January 1, 1987 |
Imprint: | FeniXX réédition numérique (Tallandier) |
Language: | French |
C’est l’eau qui a permis de construire les pyramides d’Égypte ; c’est l’eau qui, faisant flotter des blocs de granit arrimés sous des barques de bois et de roseau, les a élevés et mis en place. Avec « Les Pyramides d’Égypte », son premier livre, Manuel Minguez démontrait qu’en l’absence de tout moyen mécanique, ignorant surtout l’usage de la roue, les bâtisseurs de l’Égypte ancienne se sont servi de la force qu’ils maîtrisaient le mieux : l’eau du Nil. Chiffres à l’appui, il « reconstruit » Khéops, la plus haute des pyramides. Entre la catastrophe – probablement une des plus gigantesques de l’Antiquité – qui laissa inachevée la pyramide de Meïdoum, et l’érection des obélisques d’Hatchepsout dans un temple de Karnak, en passant par leur extraction et leur transport sur le Nil, un point commun : l’eau. Elle explique, dans un cas, l’effondrement de 250 000 tonnes de matériau et, dans l’autre, la mise sur pied, en 7 mois, sans treuil ni poulies, d’un monolithe de 227 tonnes que des Français du XIXe siècle mettront trois ans à installer place de la Concorde !
C’est l’eau qui a permis de construire les pyramides d’Égypte ; c’est l’eau qui, faisant flotter des blocs de granit arrimés sous des barques de bois et de roseau, les a élevés et mis en place. Avec « Les Pyramides d’Égypte », son premier livre, Manuel Minguez démontrait qu’en l’absence de tout moyen mécanique, ignorant surtout l’usage de la roue, les bâtisseurs de l’Égypte ancienne se sont servi de la force qu’ils maîtrisaient le mieux : l’eau du Nil. Chiffres à l’appui, il « reconstruit » Khéops, la plus haute des pyramides. Entre la catastrophe – probablement une des plus gigantesques de l’Antiquité – qui laissa inachevée la pyramide de Meïdoum, et l’érection des obélisques d’Hatchepsout dans un temple de Karnak, en passant par leur extraction et leur transport sur le Nil, un point commun : l’eau. Elle explique, dans un cas, l’effondrement de 250 000 tonnes de matériau et, dans l’autre, la mise sur pied, en 7 mois, sans treuil ni poulies, d’un monolithe de 227 tonnes que des Français du XIXe siècle mettront trois ans à installer place de la Concorde !