Author: | Dimitri Jacques | ISBN: | 9782358052108 |
Publisher: | Éditions Quintessence | Publication: | March 13, 2017 |
Imprint: | Éditions Quintessence | Language: | French |
Author: | Dimitri Jacques |
ISBN: | 9782358052108 |
Publisher: | Éditions Quintessence |
Publication: | March 13, 2017 |
Imprint: | Éditions Quintessence |
Language: | French |
Dépression, autisme, Alzheimer, troubles du comportement : les derniers secrets de la relation intestin-cerveau
Nous avons tous entendu dire que l’intestin serait un second cerveau. En réalité, cela va beaucoup plus loin. La recherche démontre aujourd’hui l’implication des bactéries intestinales dans les maladies auto-immunes, l’obésité, le diabète ou encore les allergies. Et si nos émotions et nos comportements étaient liées à nos bactéries intestinales ?
Aux États-Unis, la dépression mélancolique est reconnue et soignée comme une maladie inflammatoire du cerveau. On découvre que les troubles jusqu’ici considérés comme psychologiques ont aussi des causes biologiques, qui pourraient même se trouver au premier plan. Le point de départ ? L’intestin et les milliards de bactéries qui le peuplent.
Longtemps traquées comme responsables des maladies, les bactéries sont à présent étudiées pour leurs bienfaits. Elles ont la capacité de dialoguer entre elles et avec nos propres cellules humaines. Surtout, nous avons la possibilité d’agir sur ce dialogue, en corrigeant notre alimentation et notre hygiène de vie. Les portes s’ouvrent sur d’extraordinaires possibilités de traitement et de prévention de certaines maladies de civilisation.
Dépression, autisme, Alzheimer, troubles du comportement : les derniers secrets de la relation intestin-cerveau
Nous avons tous entendu dire que l’intestin serait un second cerveau. En réalité, cela va beaucoup plus loin. La recherche démontre aujourd’hui l’implication des bactéries intestinales dans les maladies auto-immunes, l’obésité, le diabète ou encore les allergies. Et si nos émotions et nos comportements étaient liées à nos bactéries intestinales ?
Aux États-Unis, la dépression mélancolique est reconnue et soignée comme une maladie inflammatoire du cerveau. On découvre que les troubles jusqu’ici considérés comme psychologiques ont aussi des causes biologiques, qui pourraient même se trouver au premier plan. Le point de départ ? L’intestin et les milliards de bactéries qui le peuplent.
Longtemps traquées comme responsables des maladies, les bactéries sont à présent étudiées pour leurs bienfaits. Elles ont la capacité de dialoguer entre elles et avec nos propres cellules humaines. Surtout, nous avons la possibilité d’agir sur ce dialogue, en corrigeant notre alimentation et notre hygiène de vie. Les portes s’ouvrent sur d’extraordinaires possibilités de traitement et de prévention de certaines maladies de civilisation.