Author: | Max Genève | ISBN: | 9782823900781 |
Publisher: | Emoticourt | Publication: | February 6, 2018 |
Imprint: | Emoticourt | Language: | French |
Author: | Max Genève |
ISBN: | 9782823900781 |
Publisher: | Emoticourt |
Publication: | February 6, 2018 |
Imprint: | Emoticourt |
Language: | French |
Deux parcours, deux destins...
Toufik est un jeune chauffeur routier palestinien, orphelin de père et apprenti terroriste; Amina est libanaise chrétienne pilote sur Égypt Air. Elle a perdu sa mère et son frère dans l'attentat du 11 septembre 2001. Max Genève les suit et les raconte, sans jugement ni pathos, attentif à ce fameux "facteur humain" qui décide souvent des événements.
À travers ce récit croisé, l'auteur explore l'humanité cachée derrière les religions et les cultures qui séparent.
EXTRAIT
Je m’appelle Toufik, j’ai toujours aimé conduire les gros camions. Mon père, Ahram al Misra, était employé par un grossiste en fruits et primeurs de Jérusalem. Il conduisait un vieux Renault de douze tonnes, avec lequel il faisait la navette entre les plantations de Naplouse et la capitale. Dès l’âge de seize ans, je l’accompagnais. Il m’arrivait de prendre le volant – en territoire palestinien bien sûr, jamais au moment de passer la frontière –, bien avant d’avoir réussi
le permis.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Max Genève, né en 1945 à Mulhouse sous le nom de Jean-Marie Geng, vit entre Paris et Biarritz. Docteur en sociologie, il publie cinq essais “polémiques” salués par Roland Barthes, Pierre Bourdieu et Jacques Derrida dont il devient un ami proche. De 1973 à 1982, il enseigne la sociologie à Strasbourg. En 1982, il démissionne, choisit la littérature et le nom de Max Genève.
Il est l'auteur de nombreux romans, recueils de nouvelles, essais et pamphlets. Il a également travaillé pour la radio (France Culture et France Musique) et la télévision (il a écrit, pour Antenne 2, deux épisodes de la série Le Lyonnais de René Belletto).
En 1993, Jérôme Garcin écrivait de lui, dans L’Événement du Jeudi : « Max Genève persiste à culbuter les tabous (...). On regretterait que Genève ne fut pas davantage connu si lui-même, qui signa jadis L’Illustre inconnu sous le pseudonyme de Jean-Marie Geng (sic), ne s’appliquait à être aussi talentueux qu’invisible, aussi mordant qu’insaisissable. »
Deux parcours, deux destins...
Toufik est un jeune chauffeur routier palestinien, orphelin de père et apprenti terroriste; Amina est libanaise chrétienne pilote sur Égypt Air. Elle a perdu sa mère et son frère dans l'attentat du 11 septembre 2001. Max Genève les suit et les raconte, sans jugement ni pathos, attentif à ce fameux "facteur humain" qui décide souvent des événements.
À travers ce récit croisé, l'auteur explore l'humanité cachée derrière les religions et les cultures qui séparent.
EXTRAIT
Je m’appelle Toufik, j’ai toujours aimé conduire les gros camions. Mon père, Ahram al Misra, était employé par un grossiste en fruits et primeurs de Jérusalem. Il conduisait un vieux Renault de douze tonnes, avec lequel il faisait la navette entre les plantations de Naplouse et la capitale. Dès l’âge de seize ans, je l’accompagnais. Il m’arrivait de prendre le volant – en territoire palestinien bien sûr, jamais au moment de passer la frontière –, bien avant d’avoir réussi
le permis.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Max Genève, né en 1945 à Mulhouse sous le nom de Jean-Marie Geng, vit entre Paris et Biarritz. Docteur en sociologie, il publie cinq essais “polémiques” salués par Roland Barthes, Pierre Bourdieu et Jacques Derrida dont il devient un ami proche. De 1973 à 1982, il enseigne la sociologie à Strasbourg. En 1982, il démissionne, choisit la littérature et le nom de Max Genève.
Il est l'auteur de nombreux romans, recueils de nouvelles, essais et pamphlets. Il a également travaillé pour la radio (France Culture et France Musique) et la télévision (il a écrit, pour Antenne 2, deux épisodes de la série Le Lyonnais de René Belletto).
En 1993, Jérôme Garcin écrivait de lui, dans L’Événement du Jeudi : « Max Genève persiste à culbuter les tabous (...). On regretterait que Genève ne fut pas davantage connu si lui-même, qui signa jadis L’Illustre inconnu sous le pseudonyme de Jean-Marie Geng (sic), ne s’appliquait à être aussi talentueux qu’invisible, aussi mordant qu’insaisissable. »