Idole incontestable et artiste contesté, tel était le paradoxe de Claude François. Parfait showman ou pantin trop articulé ? N’était-ce pas sa réussite que l’on jalousait, sous couvert de critiques prétendument esthétiques ou de considérations artistiques ? Car, même s’il avait connu des revers financiers, ils n’étaient dus, en aucun cas, à une baisse de popularité conséquente. Au contraire ! De « Belles belles belles » en 1963 à « Alexandrie Alexandra » en 1978 en passant par « Comme d’habitude » en 1967, on n’a jamais connu un trimestre sans sa présence au hit-parade… et même à l’étranger sur la fin de sa carrière, notamment en Grande-Bretagne, pays pourtant réputé pour son protectionnisme en matière de show-business. Alors bien sûr nous croyons tous connaître sa discographie en détail et sur le bout des ongles. Or, non ! Il avait notamment monté son propre label, Flèche, qui foisonne de talents, vrais ou frelatés, mais qui ont marqué l’époque. Quant à son répertoire, lorsqu’il le puisait à l’étranger, il s’agissait, non pas de l’artillerie lourde des titres déjà n°1 au hit-parade outre-Manche ou outre-Atlantique, mais souvent de pépites inconnues, égarées dans les méandres de la production discographique internationale. Redécouvrons ces quinze années bouillonnantes…
Idole incontestable et artiste contesté, tel était le paradoxe de Claude François. Parfait showman ou pantin trop articulé ? N’était-ce pas sa réussite que l’on jalousait, sous couvert de critiques prétendument esthétiques ou de considérations artistiques ? Car, même s’il avait connu des revers financiers, ils n’étaient dus, en aucun cas, à une baisse de popularité conséquente. Au contraire ! De « Belles belles belles » en 1963 à « Alexandrie Alexandra » en 1978 en passant par « Comme d’habitude » en 1967, on n’a jamais connu un trimestre sans sa présence au hit-parade… et même à l’étranger sur la fin de sa carrière, notamment en Grande-Bretagne, pays pourtant réputé pour son protectionnisme en matière de show-business. Alors bien sûr nous croyons tous connaître sa discographie en détail et sur le bout des ongles. Or, non ! Il avait notamment monté son propre label, Flèche, qui foisonne de talents, vrais ou frelatés, mais qui ont marqué l’époque. Quant à son répertoire, lorsqu’il le puisait à l’étranger, il s’agissait, non pas de l’artillerie lourde des titres déjà n°1 au hit-parade outre-Manche ou outre-Atlantique, mais souvent de pépites inconnues, égarées dans les méandres de la production discographique internationale. Redécouvrons ces quinze années bouillonnantes…