Mary Elizabeth Braddon: 108 books

« Est-ce que personne n’est arrivé par la diligence ce soir ? demanda le forgeron de Compton-des-Bruyères au lourd et épais propriétaire de l’Ours noir, la première et la plus grande hôtellerie du pays. — Personne, excepté le capitaine Duke. — Comment !... le capitaine...

C’était par une soirée d’automne, le vent du Nord soufflait avec fureur ; le soleil baissait et ses rayons empourprés disparaissaient peu à peu derrière les chênes du parc de Blatchmardean. Un chemin creux serpentait entre un taillis et un talus, celui-ci revêtu de mûriers au feuillage...

Les faibles rayons d’une lueur rougeâtre éclairent ça et là les épais ombrages des bois du Kent. Le doigt vermeil de l’automne s’est légèrement posé sur le feuillage, — avec cette sobriété de touche que déploie un peintre lorsqu’il se sert de ses plus brillantes couleurs pour...

Extrait: Quand vous avez précipité votre victime dans la salle basse de l’aile du Nord que vous croyiez lui donner pour tombeau, – dit le vieux commis en s’adressant d’une voix lente et décidée à son patron, – vous auriez mieux fait de prendre la peine de vous assurer qu’elle était...

— Ayant une maison plus grande qu’il ne leur est nécessaire, — écrivez cela, ma mère, dit Barbara, assise sur le tapis, les deux, mains croisées sur les genoux, au niveau du plus joli menton du monde. — Soixante mots pour 5 shillings ! s’écrie Mme Trevenock d’un air inquiet...

Pendant que le train express de Doncastre emportait vers le nord M. et Mme Mellish, un autre train express voyageait de Liverpool à Londres, avec son chargement de voyageurs. Parmi ceux-ci se trouvait un certain individu, aux épaules larges et au cou de taureau, qui avait considérablement attiré...

Un coucher de soleil d’automne dorait les sombres massifs de genêts et les franges tremblotantes des bruyères qui couronnaient le sommet d’un coteau du comté de Sussex. Au loin se mêlaient à la voix étouffée et plaintive du vent de septembre les lamentations de l’Océan lointain....

It had been raining all the morning, and it was raining still, in that feeble and desultory manner which presages a change of some kind, when the postman came with the long-expected Indian letter. He was later than usual. It was nearly two o'clock, and Isola had been watching for him since...

Par une après-midi douce et ensoleillée d’automne, une jeune fille lisait une lettre sur le pont de Batterica, une enfant par les années, une femme par les soucis ; ses yeux brillent d’un éclat étrange, relevé par la pâleur mate de son visage, la bouche, aux lèvres minces et serrées,...

She was listening to an oft-told tale, kneeling in the firelight, at her aunt's knee, the ruddy glow tenderly touching her fair soft hair and fairer forehead, her big blue eyes lifted lovingly to Mrs. Tregonell's face. "And he was a widower, Aunt Diana," she repeated, with an expression...

This is an electronic edition of the complete book complemented by author biography. This book features a table of contents linked to every chapter. The book was designed for optimal navigation on the iPad, Nook, PDA, Smartphone, and other electronic readers. It is formatted to display on all electronic devices including eReaders, Smartphones and other Mobile Devices with a small display.

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A classic Victorian "sensation" novel, full of intrigue and mystery. A sequel to Birds of Prey.

Nothing? asked the farmer, standing upon a heathery knoll, with his gun under his arm, and his two clever spaniels, Nell and Beauty, crouched dutifully at his feet. "Nothing but this," answered the farmer's man, holding up a bundle of papers—pamphlets and manuscripts—dirty, crumpled,...