Author: | Robert Fludd | ISBN: | 1230000366496 |
Publisher: | Edition du Phoenix d'Or | Publication: | April 16, 2015 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Robert Fludd |
ISBN: | 1230000366496 |
Publisher: | Edition du Phoenix d'Or |
Publication: | April 16, 2015 |
Imprint: | |
Language: | French |
Si le public connaissait exactement et parfaitement la nature intime de l’astrologie (mais peu d’hommes y parviennent et encore avec le secours et la grâce d’un Dieu unique), cette science, généralement fort décriée, ne jouirait pas d’une si détestable réputation...
Robert Fludd, par son savoir, par son esprit froid et positif, par sa pensée libérée de toute contrainte, par son génie enfin, a été, parmi les philosophes du commencement du dix-septième siècle, celui qui a eu la compréhension la plus grande, la plus nette, la plus belle de l’univers en entier.
C’est, avant tout, un philosophe synthétique, un métaphysicien si l’on veut, mais un métaphysicien sans rêverie, sans mysticisme, sans littérature, qui raisonne, qui explique, qui prouve.
C’est ensuite un kabbaliste initié dans les cénacles de la Rose-Croix aux mystères de la cosmogonie et de la théosophie, il est féru de cet admirable système de philosophie qu’est la kabbale. Il s’en sert comme d’un outil merveilleux à l’aide duquel il ouvre à ses lecteurs les portes de la Connaissance.
Il avait, étant de nationalité anglaise, fait ses études à Oxford et pris en cette université le grade de docteur en médecine. Mais il avait beaucoup voyagé, en France, en Allemagne, en Italie ; il avait été militaire, puis littérateur, puis homme de science...
Si le public connaissait exactement et parfaitement la nature intime de l’astrologie (mais peu d’hommes y parviennent et encore avec le secours et la grâce d’un Dieu unique), cette science, généralement fort décriée, ne jouirait pas d’une si détestable réputation...
Robert Fludd, par son savoir, par son esprit froid et positif, par sa pensée libérée de toute contrainte, par son génie enfin, a été, parmi les philosophes du commencement du dix-septième siècle, celui qui a eu la compréhension la plus grande, la plus nette, la plus belle de l’univers en entier.
C’est, avant tout, un philosophe synthétique, un métaphysicien si l’on veut, mais un métaphysicien sans rêverie, sans mysticisme, sans littérature, qui raisonne, qui explique, qui prouve.
C’est ensuite un kabbaliste initié dans les cénacles de la Rose-Croix aux mystères de la cosmogonie et de la théosophie, il est féru de cet admirable système de philosophie qu’est la kabbale. Il s’en sert comme d’un outil merveilleux à l’aide duquel il ouvre à ses lecteurs les portes de la Connaissance.
Il avait, étant de nationalité anglaise, fait ses études à Oxford et pris en cette université le grade de docteur en médecine. Mais il avait beaucoup voyagé, en France, en Allemagne, en Italie ; il avait été militaire, puis littérateur, puis homme de science...