Author: | Patrice Dard | ISBN: | 9782847146783 |
Publisher: | Mount Silver | Publication: | March 1, 2014 |
Imprint: | Mount Silver | Language: | French |
Author: | Patrice Dard |
ISBN: | 9782847146783 |
Publisher: | Mount Silver |
Publication: | March 1, 2014 |
Imprint: | Mount Silver |
Language: | French |
" Tu as soif ? s'informe Jacqueline en saisissant la bouteille de Dom Pérignon. - Toujours liché-je, la voix étranglée. Alors la vénus de Septembre Noir se jette sur le lit, et déverse le contenu du flacon entre [...?]. Il y a peut-être loin de la coupe aux lèvres, mais il n'y a pas longtemps. Je me rue auprès de Jacqueline et me regorge du champagne qui pétille encore de mille bulles enivrantes. Jamais calice ne m'a semblé si doux. Jusqu'à la lie, je le consomme et bien au-delà. Lorsque ma soif est enfin étanchée, celle de la fille ne fait que débuter. Une soif inextinguible de caresses et de plaisirs. Je l'abreuve donc de mes baisers. Le contact de [...] imberbes, douces et tièdes, donne à notre étreinte un caractère de véritable baiser. Ma [...] s'insinue avec vivacité et le bout frôle l'amorce. Soudain, Jacqueline accroche ses mains dans mes cheveux pour imprimer à ma tête un mouvement plus rapide. Ses reins se soulèvent avec rage et accompagnent chacune de mes caresses. - Ecoute ! Je vais mourir ! hurle-t-elle d'une voix galactique. J'écoute. Elle meurt effectivement, mais de ce genre de mort dont par bonheur on meurt plusieurs fois. Au cours de la même nuit !
" Tu as soif ? s'informe Jacqueline en saisissant la bouteille de Dom Pérignon. - Toujours liché-je, la voix étranglée. Alors la vénus de Septembre Noir se jette sur le lit, et déverse le contenu du flacon entre [...?]. Il y a peut-être loin de la coupe aux lèvres, mais il n'y a pas longtemps. Je me rue auprès de Jacqueline et me regorge du champagne qui pétille encore de mille bulles enivrantes. Jamais calice ne m'a semblé si doux. Jusqu'à la lie, je le consomme et bien au-delà. Lorsque ma soif est enfin étanchée, celle de la fille ne fait que débuter. Une soif inextinguible de caresses et de plaisirs. Je l'abreuve donc de mes baisers. Le contact de [...] imberbes, douces et tièdes, donne à notre étreinte un caractère de véritable baiser. Ma [...] s'insinue avec vivacité et le bout frôle l'amorce. Soudain, Jacqueline accroche ses mains dans mes cheveux pour imprimer à ma tête un mouvement plus rapide. Ses reins se soulèvent avec rage et accompagnent chacune de mes caresses. - Ecoute ! Je vais mourir ! hurle-t-elle d'une voix galactique. J'écoute. Elle meurt effectivement, mais de ce genre de mort dont par bonheur on meurt plusieurs fois. Au cours de la même nuit !