Author: | Katia Lopez | ISBN: | 1230001694727 |
Publisher: | Katia Lopez | Publication: | May 27, 2017 |
Imprint: | Language: | French |
Author: | Katia Lopez |
ISBN: | 1230001694727 |
Publisher: | Katia Lopez |
Publication: | May 27, 2017 |
Imprint: | |
Language: | French |
C’est Brad qui relança l’aspect plus sexuel du jeu en donnant à Aubrey le gage de m’embrasser passionnément sur la table. Elle et moi nous regardâmes, et sans dire un mot, je rampai sur la table et l’embrassai. Ce n’était pas la première fois que je faisais ça, et probablement pas la dernière. Ses lèvres étaient douces et souples, sa peau soyeuse, et je me retirai en souriant, étrangement satisfaite. Aubrey cependant avait un drôle de regard, comme si elle était agacée que je lui aie volé la vedette en commençant le baiser.
« Anna, dit Aubrey en croissant les bras et s’appuyant sur sa chaise, me fixant et plissant les yeux. Ton gage… est de branler… Ethan.
-Quoi ? » Je rejetai l’idée, riant tellement elle était ridicule. Mais au plus je la regardais, au plus elle semblait sérieuse. Haussant un sourcil, elle remplit son verre et pencha la tête sur le côté.
« Un problème, demanda-t-elle. Tu comptes vraiment refuser un gage ? »
Je regardai Ethan qui semblait tout aussi choqué que moi, puis j’osai un regard vers mon mari qui fronçait les sourcils. Bien sûr je voulais la battre, mais je ne comptais rien faire qui puisse mettre mon mari mal à l’aise. Ni Ethan d’ailleurs, mais sa réaction était moins importante que celle de Brad.
« Brad ? » Il me regarda quand je dis son nom, et plutôt que de me dire de ne pas le faire, il resta silencieux, comme pour me demander si moi je voulais faire ce que l’on m’avait demandé. Je souris, me penchai et embrassai sa joue. C’est fou ce que je pouvais l’aimer.
« Un gage est un gage, » soupirai-je en haussant les épaules et me levant comme si je n’avais d’autre choix que d’aller voir le mari d’Aubrey et le branler. Ethan était rouge d’embarras, ses joues prenant la couleur du coup de soleil sur son nez, et je levai les sourcils. Nous nous fixâmes pendant un moment.
Finalement, il poussa sa chaise pour me faire de la place. « Un gage est un gage, » approuva-t-il, la voix pleine de désir. Bizarrement, ce son provoqua une certaine excitation alors que je m’agenouillais et défaisais son pantalon. A ma grande surprise, sa bite était dure comme un roc quand je la sortis, et je ne pus m’empêcher de la regarder un moment avant de me tourner vers Brad. Je n’avais été avec personne d’autre depuis que nous nous connaissions, et même si je l’aimais, une partie de moi était excitée d’essayer quelque chose de nouveau.
Et Ethan, c’était du nouveau ; nouveau et gros. Tellement gros que c’en était surprenant. Il attendait silencieusement que je commence. A vrai dire, toute la pièce était silencieuse alors que je crachai dans ma main et attrapai sa hampe dure, pompant de haut en bas. Il sembla retenir un grognement, ses hanches ruant alors que je traçais des cercles sur son gland, utilisant mes doigts pour titiller la partie sensible. Jetant un regard par-dessus mon épaule, je vis que Brad regardait la scène les bras croisés mais les yeux brillant d’excitation.
C’est Brad qui relança l’aspect plus sexuel du jeu en donnant à Aubrey le gage de m’embrasser passionnément sur la table. Elle et moi nous regardâmes, et sans dire un mot, je rampai sur la table et l’embrassai. Ce n’était pas la première fois que je faisais ça, et probablement pas la dernière. Ses lèvres étaient douces et souples, sa peau soyeuse, et je me retirai en souriant, étrangement satisfaite. Aubrey cependant avait un drôle de regard, comme si elle était agacée que je lui aie volé la vedette en commençant le baiser.
« Anna, dit Aubrey en croissant les bras et s’appuyant sur sa chaise, me fixant et plissant les yeux. Ton gage… est de branler… Ethan.
-Quoi ? » Je rejetai l’idée, riant tellement elle était ridicule. Mais au plus je la regardais, au plus elle semblait sérieuse. Haussant un sourcil, elle remplit son verre et pencha la tête sur le côté.
« Un problème, demanda-t-elle. Tu comptes vraiment refuser un gage ? »
Je regardai Ethan qui semblait tout aussi choqué que moi, puis j’osai un regard vers mon mari qui fronçait les sourcils. Bien sûr je voulais la battre, mais je ne comptais rien faire qui puisse mettre mon mari mal à l’aise. Ni Ethan d’ailleurs, mais sa réaction était moins importante que celle de Brad.
« Brad ? » Il me regarda quand je dis son nom, et plutôt que de me dire de ne pas le faire, il resta silencieux, comme pour me demander si moi je voulais faire ce que l’on m’avait demandé. Je souris, me penchai et embrassai sa joue. C’est fou ce que je pouvais l’aimer.
« Un gage est un gage, » soupirai-je en haussant les épaules et me levant comme si je n’avais d’autre choix que d’aller voir le mari d’Aubrey et le branler. Ethan était rouge d’embarras, ses joues prenant la couleur du coup de soleil sur son nez, et je levai les sourcils. Nous nous fixâmes pendant un moment.
Finalement, il poussa sa chaise pour me faire de la place. « Un gage est un gage, » approuva-t-il, la voix pleine de désir. Bizarrement, ce son provoqua une certaine excitation alors que je m’agenouillais et défaisais son pantalon. A ma grande surprise, sa bite était dure comme un roc quand je la sortis, et je ne pus m’empêcher de la regarder un moment avant de me tourner vers Brad. Je n’avais été avec personne d’autre depuis que nous nous connaissions, et même si je l’aimais, une partie de moi était excitée d’essayer quelque chose de nouveau.
Et Ethan, c’était du nouveau ; nouveau et gros. Tellement gros que c’en était surprenant. Il attendait silencieusement que je commence. A vrai dire, toute la pièce était silencieuse alors que je crachai dans ma main et attrapai sa hampe dure, pompant de haut en bas. Il sembla retenir un grognement, ses hanches ruant alors que je traçais des cercles sur son gland, utilisant mes doigts pour titiller la partie sensible. Jetant un regard par-dessus mon épaule, je vis que Brad regardait la scène les bras croisés mais les yeux brillant d’excitation.