Author: | Lily Haime | ISBN: | 9782375746073 |
Publisher: | MxM Bookmark | Publication: | December 5, 2018 |
Imprint: | MxM Bookmark | Language: | French |
Author: | Lily Haime |
ISBN: | 9782375746073 |
Publisher: | MxM Bookmark |
Publication: | December 5, 2018 |
Imprint: | MxM Bookmark |
Language: | French |
« Tu as hérité de son rêve de liberté. Et Dieu sait à quel point il brise les cœurs dans cette famille, ce rêve-là... »
En 2018, Emy Callaghan, jeune éditrice à Boston, ouvre le premier de six carnets vieux de plus de vingt ans...
En 1993, Angel Mitchell revint à Harrison, petite ville côtière de Caroline du Nord, fief des Mitchell, l’une des familles les plus puissantes du pays. À vingt-deux ans, sorti major de sa promotion à Harvard, il en est le plus jeune héritier. Destiné à siéger au conseil d’administration de Mitchell Corp, et à épouser la fille du sénateur Preston, son avenir est déjà tout tracé. Il marchera sur les pas de son père, de son grand-père et de tous les Mitchell avant ça. Et s’il a du talent pour l’écriture, s’il remplit les vieux carnets de sa mère de ses nouvelles, c’est pour lui rendre hommage, elle qui écrivait tant de poésies. C’est aussi pour rester proche de lui, de ce garçon qu’il a aimé en secret des années plus tôt. Ce fils de pécheur, ce fils de Masboro Island.
Jay.
À Harrison, dans le sud conservateur, alors que l’homosexualité vient juste d’être retirée de la liste des maladies de l’OMS, alors que l’on parle encore du cancer gay, alors que les centres de conversions sont encore jugés comme une bonne solution, il n’y a aucune place pour les différences. De cet amour, Angel ne garde qu’un vieux polaroïd et un soir de pluie qui le hante encore. Le soir où Jay l’a protégé. Le soir où il s’est enfui, caché sous une capuche pour que personne ne puisse le reconnaitre. Et si les années ont tissé cette haine envers les Mitchell, envers Angel, Jay ne l’a jamais trahi.
Aujourd’hui Angel voit les murs de son monde se resserrer autour de lui. Il étouffe. Et sa seule liberté reste ces mots qu’il écrit pour Jay.
Et les mots ont un pouvoir...
Les mots sont des ponts pour que d’un monde à l’autre on puisse toujours se retrouver.
« C’est lui, la rose Cherokee. La rose qu’on espère voir le matin, durant cet instant juste avant l’aube, lorsqu’on peut encore tout imaginer. Et tout rêver... »
« Tu as hérité de son rêve de liberté. Et Dieu sait à quel point il brise les cœurs dans cette famille, ce rêve-là... »
En 2018, Emy Callaghan, jeune éditrice à Boston, ouvre le premier de six carnets vieux de plus de vingt ans...
En 1993, Angel Mitchell revint à Harrison, petite ville côtière de Caroline du Nord, fief des Mitchell, l’une des familles les plus puissantes du pays. À vingt-deux ans, sorti major de sa promotion à Harvard, il en est le plus jeune héritier. Destiné à siéger au conseil d’administration de Mitchell Corp, et à épouser la fille du sénateur Preston, son avenir est déjà tout tracé. Il marchera sur les pas de son père, de son grand-père et de tous les Mitchell avant ça. Et s’il a du talent pour l’écriture, s’il remplit les vieux carnets de sa mère de ses nouvelles, c’est pour lui rendre hommage, elle qui écrivait tant de poésies. C’est aussi pour rester proche de lui, de ce garçon qu’il a aimé en secret des années plus tôt. Ce fils de pécheur, ce fils de Masboro Island.
Jay.
À Harrison, dans le sud conservateur, alors que l’homosexualité vient juste d’être retirée de la liste des maladies de l’OMS, alors que l’on parle encore du cancer gay, alors que les centres de conversions sont encore jugés comme une bonne solution, il n’y a aucune place pour les différences. De cet amour, Angel ne garde qu’un vieux polaroïd et un soir de pluie qui le hante encore. Le soir où Jay l’a protégé. Le soir où il s’est enfui, caché sous une capuche pour que personne ne puisse le reconnaitre. Et si les années ont tissé cette haine envers les Mitchell, envers Angel, Jay ne l’a jamais trahi.
Aujourd’hui Angel voit les murs de son monde se resserrer autour de lui. Il étouffe. Et sa seule liberté reste ces mots qu’il écrit pour Jay.
Et les mots ont un pouvoir...
Les mots sont des ponts pour que d’un monde à l’autre on puisse toujours se retrouver.
« C’est lui, la rose Cherokee. La rose qu’on espère voir le matin, durant cet instant juste avant l’aube, lorsqu’on peut encore tout imaginer. Et tout rêver... »